Paris – Notre hommage aux morts du six-février

Le samedi 4 février 2023, Les Nationalistes, et le Cercle franco-hispanique se sont rassemblés au cimetière de Charonne dans le 20e arrondissement de Paris pour déposer une gerbe sur la tombe du poète Robert Brasillach, le « Petit Prince du Nationalisme », fusillé par les gaullo-communistes en 1945, onze ans jour pour jour après l’émeute anti-corruption et antiparlementaire de 1934. Une autre gerbe a été déposée sur la tombe de son beau-frère, l’écrivain Maurice Bardèche, condamné à un an de prison ferme pour avoir plaidé la cause des vaincus de 1945 dans Nuremberg ou la Terre promise.

Yvan Benedetti, président des Nationalistes, et Hélène Grimaldi, présidente du Cercle franco-hispanique, ont pris la parole tour à tour pour rappeler le parcours héroïque des deux écrivains et honorer leur mémoire. Les militants ont conclu l’hommage en entonnant La Cavalcade, chant en souvenir des camarades disparus, et l’hymne des Nationalistes, Nous voulons rester Français.

C’est alors qu’un groupe d’antifas vociférants a voulu pénétrer dans le cimetière ! Mais leur élan a été brisé par une grille de cimetière fasciste et leurs crânes par des pots de fleurs réactionnaires. Ayant ramassé leurs blessés, ils ont déguerpi au bout de 2 minutes promettant de revenir l’an prochain. Gageons qu’ils reviendront prudemment à leur méthode de combat traditionnelle, la dégradation de tombes avec graffitis et souillures. D’ailleurs la gerbe déposée le samedi avait disparu le dimanche.

Une messe commémorative a ensuite été célébrée après laquelle les militants se sont réunis autour d’un banquet.

Pour le soir, une marche aux flambeaux de Saint Germain des Prés à l’Assemblée nationale était prévue, mais elle a été interdite par le « préfet de police », alias l’éborgneur Nuñez, ex-bras droit de Castaner, décision confirmée par le tribunal malgré notre recours. Nous avons toutefois décidé de maintenir un rassemblement sur le lieu de la manifestation de 1934. Nous avons déposé une gerbe place de la Concorde et brandi devant l’Assemblée une banderole répétant le cri des valeureux manifestants : « À BAS LES VOLEURS ! ».

Malgré les années qui passent, malgré les tracasseries des flics et des antifas, les nationalistes français se souviennent de leurs héros !