Il a 26 ans, un sens politique aiguisé, une langue bien pendue, et surtout : une colonne vertébrale.
Alexandre Hinger, candidat du Parti de la France dans la 5ᵉ circonscription de Saône-et-Loire, mène, aux côtés de son suppléant Iannis Mauriaud, une campagne comme on n’en voit plus : tranchante, drôle, provocante – mais toujours fondée, jamais gratuite. Et c’est précisément pour cela qu’il inquiète. Parce qu’il ne récite pas, il frappe. Parce qu’il ne s’excuse pas, il attaque.
Dans un paysage politique zombifié, où la parole est aseptisée à force d’être soumise, Hinger dérange. Parce qu’il existe. Parce qu’il parle encore français, au sens fort du terme.
Une jeunesse enracinée, pas lobotomisée
Hinger n’est pas un nostalgique : il est un jeune enraciné, parfaitement au fait des nouveaux outils de combat. Étudiant en communication, mais formé à la vérité, pas à la langue de bois, il combine fond politique, maîtrise des réseaux et culture de l’ironie.
Ses vidéos font mouche. Son bistrot militant, ses vannes sur les parasites sociaux, son ton libre et tranchant lui ont valu plusieurs censures… et autant de pics d’audience. Quand il qualifie la CAF de « mosquée géante » ou parle d’« envoyer le Système en remigration idéologique », il ne cherche pas le buzz : il touche au cœur du mensonge ambiant.
Une plateforme sérieuse, un ton qui décoiffe
Contrairement aux apparences, il n’est pas un provocateur vide. Sa ligne est claire, construite, enracinée :
- Identité ethno-culturelle assumée : pas de France sans Français, pas de nation sans racines, pas de paix sans frontières.
- Remigration politique, économique et civilisationnelle : les mosquées et les dealers dehors, les clochers et les fermes dedans.
- Soutien aux PME, au pouvoir d’achat des vrais travailleurs, pas des assistés professionnels.
- Réarmement moral et sécuritaire, avec le retour de la peine de mort dans le débat public, la restauration de l’autorité dans les écoles, les rues, les tribunaux.
La provocation est là, oui – mais elle sert la démonstration, elle n’en est jamais le substitut.
Une ligne propre, un combat commun
La ligne d’Alexandre Hinger n’est pas exactement la nôtre sur tous les points. Mais nous partageons l’essentiel : l’amour de la France, la défense de l’identité, le refus du grand remplacement, la volonté de rendre la parole au peuple et de rétablir l’ordre naturel des choses. C’est cela qui compte.
Et c’est pour cela que nous soutenons sa candidature, dans le cadre du Front Nationaliste que nous appelons de nos vœux : un front d’unité réelle, enracinée, capable de faire face au bloc mondialiste libéral représenté par la gauche et la droite parlementaire.
Nous savons reconnaître nos alliés. Et Alexandre Hinger est de ceux-là. La nature politique a horreur du vide, et nous serons là pour tenir la place que le RN a abandonné.
Bardella s’agite ? C’est que la peur commence à suinter
Dernièrement, Jordan Bardella s’est fendu d’une sortie pitoyable, accusant Alexandre Hinger d’user de « méthodes de voyous », au motif que son bulletin ressemblerait à celui du RN. La ficelle est grosse. Cette nervosité soudaine révèle autre chose : la panique molle d’un parti qui sent le sol se dérober sous ses pieds.
Pendant que Bardella insulte les électeurs en les accusant de ne pas savoir faire la différence entre deux bulletins, son propre candidat, l’inexistant Arnaud Sanvert, se présente sous l’étiquette « RPR », espérant ratisser les voix des vieux gaullistes. Là est la vraie manœuvre, la vraie tromperie.
Le RN prétend incarner une opposition, mais il a tourné le dos à ses propres fondations. Il a effacé Jean-Marie Le Pen de sa mémoire, il a sacrifié la préférence nationale, il a renoncé à toute radicalité réelle. Il est devenu une variable d’ajustement du Système.
Une circonscription-test pour toute la droite nationale
La 5ᵉ circonscription de Saône-et-Loire est un microcosme : villes moyennes, campagnes oubliées, identité malmenée. C’est ici que se joue une ligne de fracture. Le RN y aligne un fantôme, les Patriotes de Florian Philippot font de la figuration, et la gauche locale vit sous perfusion clientéliste.
Alexandre Hinger, lui, n’a pas besoin d’artifices. Il va au contact, caméra à la main, sourire aux lèvres, et punchline dans la poche. Il parle aux gens comme on n’en a plus l’habitude en politique : franchement.
Il se moque des bien-pensants, et les bien-pensants le lui rendent bien, en le traînant devant les tribunaux. Mais plus on l’attaque, plus il monte. Parce que son message, derrière l’humour, porte une vérité brutale que beaucoup souhaitent entendre.
La France réelle n’a pas disparu. Elle a juste été mise en quarantaine. Et maintenant, elle se réveille – jeune, drôle, implacable.