Au lendemain d’une journée de mobilisation populaire sans équivalent dans une période qui en a déjà connu beaucoup, les Nationalistes tiennent à soutenir et à encourager l’opposition à la réforme des retraites qui dépasse largement ce seul cadre. Dans notre pays fracturé et divisé comme jamais, il n’y avait aucune urgence à toucher au système actuel – comme annoncé par le Conseil d’Orientation des Retraites dans son rapport de septembre 2022 – qui s’est stabilisé après l’arrivée en masse des nouveaux retraités conséquents au baby-boom d’après-guerre favorisé par la politique familiale de l’Etat français. Une nouvelle fois, le gouvernement cède aux injonctions de Bruxelles notamment pour la suppression des régimes spéciaux et veut faire peser le poids de la dette abyssale et de ses intérêts sur le petit peuple selon la loi oligarchique de la privatisation des profits et la socialisation des pertes.
Dans ce nouveau combat, il faut renvoyer dos à dos gouvernement et syndicats qui s’appuient sur la lutte des classes pour servir des intérêts qui ne sont pas ceux des français. Pour maintenir le système de retraite par répartition, mis en place par le Maréchal Pétain, et le rendre plus juste et moins contraignant fiscalement, il convient de prendre des mesures drastiques :
- Annulation de la dette et retour à une pleine souveraineté monétaire et financière qui ne peut se faire qu’avec le FREXIT.
- Relance d’une politique nataliste forte pour inverser le processus de vieillissement de la population.
- Lancement d’une politique ferme en matière de remigration, notamment en réservant les retraites aux seuls français et en luttant contre les fraudes massives des faux retraités vivant à l’étranger pour soulager les caisses de retraite.
- Cessation du racket fiscal, mise en place d’une politique industrielle, seuls capable de créer les emplois générateur des flux de revenus sans lesquels aucun financement des retraites et de quelque politique sociale qui soit n’est possible.
- Organisation des professions en corporations regroupant patrons et employés, chargées d’organiser les conditions de travail et notamment les régimes de retraite, selon des critères propres à chacun des métiers.
Ce n’est que par l’application de ce programme cohérent que nous pourrons rendre possible ce qui est nécessaire. En attendant, il nous faut nous mobiliser pour combattre ce président méprisant qui feint l’indifférence à l’étranger.
Il ne faut pas, non plus, placer quelque vain espoir en une opposante qui va sillonner l’Afrique au moment où notre peuple crie dans la rue sa souffrance.
Plus que jamais l’espérance aujourd’hui est nationaliste !