Rejoins-nous !

Rejoins-nous !

Es-tu seul mon ami, tourmenté par ce monde,
Ne pouvant supporter les suppôts de l’immonde,
Où il faut sans arrêt acquiescer sans un bruit,
Les délires des uns, des autres la folie.

Les iniques bobards que le capital narre,
Veulent t’habituer à ces êtres barbares,
Ils ne font qu’inonder la patrie t’étant chère,
Par d’ignobles violeurs qui lorgnent sur ta terre.

Tu n’as jamais aimé les bruits de leurs mensonges,
Et voulais t’évader dans d’agréables songes,
Mais la réalité, sans appel et sans trêve,
A brisé chaque fois les plus doux de tes rêves.

T’es-tu laissé tenté par les alternatives,
Que ce puissant système a laissé sur sa rive ?
Ne te leurre donc point, et vois qui les finance,
L’apatridie ayant parasité la France.

Ils aiment à prétendre avoir la solution,
Dans les journaux d’État, dans ta télévision,
Mais ont imaginé, pensé et mis en place,
Tout ce qui lentement de ton pays t’efface.

Cet homme aux traits tirés, avec son passeport,
Crois-tu qu’il se soucie de ton funeste sort ?
À la moindre secousse il partira bien vite,
Rejoindra sa patrie factice dans sa fuite.

Cette femme hystérique avec son fort accent,
A-t-elle pour souci que perdure ton sang ?
Pourtant elle s’agite et fait de grands discours,
Mais son peuple est l’objet de son unique amour.

Le parti rouge ou bleu ? Vaine dichotomie,
C’est un ignoble jeu que la démocratie !
Ce vil cuistre ignorant, qui choisit par défaut,
Son vote vaut le tien, pourtant c’est un nigaud.

Peut-être as-tu songé, nous ne te blâmons pas,
Que tout était perdu, condamné au trépas,
Que notre beau pays serait un souvenir,
Et qu’il allait bientôt dans les flammes périr.

Mais sache-le ami, pour que vive la France,
Il faut en notre cœur la vertu d’espérance,
Sache aussi qu’il nous faut des hommes comme toi,
Qui en plus de l’Idée sont porteurs de la Foi.

Alors cher camarade, écoute donc ton âme,
Ta patrie t’appartient et elle te réclame,
Sois de notre futur l’un des protagonistes,
Rejoins-nous pour cela, nous Les Nationalistes !

~ Alexandre

“S’il n’est pas nécessairement un artiste, le fasciste est cependant un esthète. Il est certes avant tout attaché au Vrai et au Bien ; mais il est aussi attaché au Beau, et à tout ce qui participe, d’une manière ou d’une autre, à l’Idée de beauté. Il est par nature un poète”

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