Nous exprimons notre totale solidarité avec le mouvement Avangardia Torino, dont les locaux viennent d’être mis sous scellés par les autorités italiennes. Ce groupe ami, présent à plusieurs de nos événements et qui nous avait invités à son rassemblement européen de novembre dernier, fait aujourd’hui les frais d’une répression politique de plus en plus ouverte.
L’Italie, à l’image de nombreux États d’Europe occidentale, glisse dans une dérive répressive de nature néo-soviétique visant à étouffer toute expression de résistance nationale et identitaire au mondialisme. Sous couvert de démocratie, le système traque ceux qui refusent de se soumettre à ses dogmes cosmopolites et marchands.
Encore une fois, aucune remise en question ne vient du gouvernement de centre-droit », qualifié ici en France — non sans ironie — d’« extrême droite ». Pire encore, c’est avec la complicité active de ce même gouvernement que la répression s’abat : par souci de respectabilité auprès des institutions globalistes comme l’Union européenne, des jeunes militants idéalistes sont sacrifiés sur l’autel de l’intégration d’un parti renégat au système mondial-capitaliste.
Et pendant que les forces de l’ordre mettent sous scellés les locaux militants et tentent de persécuter plusieurs dizaines de militants idéalistes, l’Italie s’apprête, avec la bénédiction de son gouvernement « de droite », à accueillir 500 000 migrants supplémentaires, venant s’ajouter aux quelque 450 000 déjà entrés entre 2023 et 2025 — soit un total supérieur à la population de la ville de Turin elle-même. Voilà la véritable priorité du régime.
Face à cela, il est temps de le rappeler clairement : nous, Nationalistes, ne devons jamais être l’arrière-garde politique de partis populistes de droite ou encore d’extrême droite, asservis aux intérêts sionistes, défendant des théories antisociales et des pratiques anti-populaires, prêts à sacrifier toutes les émotions juvéniles, toutes les fidélités, ainsi que les élans énergiques et poétiques du militantisme, à leur acceptation par un système capitaliste antinational.
Nous devons au contraire être et rester l’avant-garde politique et spirituelle de nos peuples et de notre civilisation.
Nous refusons de participer à la mascarade d’un système politique irréformable, dans lequel la « droite » comme l’« extrême droite » se sont embourbées.
Per la nostra terra, la nostra gente, la nostra Europa, la rivoluzione è l’unica via !
Pour notre terre, notre peuple, notre Europe, la révolution est l’unique chemin !